• Bonjour cette fois je n'ai pas eu facile pour réaliser le défi de Milldéfis, il fallait trouver des halles...

    Les seules halles que je connaisse sont celles de Scharbeek à Bruxelles mais pas de photos et la halle aux foires de Ciney mais pas de photos non plus.

    Mais ici dans la région il y a l'ancien bâtiment de la halle aux blés de Durbuy...

    J'avais été en 2008 avec mon mari en balade à Durbuy, mais hélas comme j'ai perdus bons nombres de fichiers ou que certains sont sur CD et que mon lecteur CD de mon ordi ne fonctionne plus, j'étais de la revue!

    Mais dimanche à la brocante j'ai été chez mon marchand de collection de cartes postales, et là j'ai déniché une vielle carte de la Halle aux blés de Durbuy.

    Cigalette

    Explication trouvée ICI

    La Halle aux Blés est le témoin privilégié et le symbole éclatant des riches heures de la Terre de Durbuy.

    La halle actuelle date en effet du 16e siècle (vers 1530-1540), période de prospérité économique pour la région, grâce à la métallurgie. A cette époque, la halle est bien la « maison communale », combinant les fonctions de marché couvert (au rez-de-chaussée, qui était alors en grande partie ouvert) et de maison de la magistrature. Tiennent leurs réunions et assemblées à la halle : la Haute Cour, la Cour féodale et la Cour d’échevinage, qui administre la ville et franchise de Durbuy.

    Au 17e siècle, la ville est en déclin économique, conséquence de la Guerre de Trente Ans. L’activité métallurgique a disparu totalement. Nombre des premiers métallos wallons ont alors mis le cap sur la Suède, à l’appel de Louis de Geer et son cousin Mathieu. La halle était délabrée et a alors été rénovée. En 1639, elle a été raccourcie de moitié, perdant sa partie arrière correspondant au marché couvert.

    Elle conservera sa fonction d’hôtel de ville et de siège de la magistrature, rôle qu’elle gardera jusqu’à la fin de l’Ancien Régime.

    Le bâtiment subira encore diverses transformations (ainsi en 1718 et 1756). L’appellation “halle aux blés”, apparue au 19e siècle, est réductrice. S’il s’agit bien d’une halle (puisqu’elle abrita longtemps le marché public), l’expression « aux blés » pose question, puisque la halle n’a servi qu’exceptionnellement d’entrepôt pour ce type de denrée.

    La halle est monument classé par Arrêté royal du 23-11-1976. Actuellement propriété de la Ville de Durbuy, elle fait aussi partie depuis 1993 du patrimoine immobilier exceptionnel de la Wallonie. Elle méritait bien une restauration, projet qui s’est fait attendre pendant des décennies.

    Ce projet ambitieux initié et financé à 95 % par la Région wallonne a été précédé d’une recherche archéologique complémentaire, effectuée par le Service de I ’Archéologie de la Région wallonne. Ces investigations, qui ont fait appel à la dendrochronologie pour les datations, ont fait apparaître, en sous-sol, les vestiges des fondations de la halle du 14e siècle. De même, les grandes lignes de l’évolution architecturale du bâtiment ont été précisées.

    Pour l’anecdote, on rappellera que le chantier, à peine entamé, dut être interrompu pendant plusieurs mois, afin de permettre à une colonie de chauves-souris d’une espèce protégée de mettre bas !

    L’objectif majeur était de rendre le plus possible au bâtiment son aspect originel du 16e siècle, en incorporant ici et là, pour des raisons à la fois de solidité et d’esthétique, des éléments modernes, comme cette cage d’escalier en verre et alu accolée à l’arrière. Le coût de ces travaux dépasse le montant de 1.250.000 euros.

    Le célèbre pignon est sorti transformé de l’opération : nouvelles couleurs, rétablissement des anciennes ouvertures et de la ferme débordante que supportaient autrefois six consoles, sculptées en forme d’allégories. Quatre des consoles originales, dont la Folie et la Sagesse, l’Homme sauvage et l’Homme civilisé, sont visibles à l’intérieur du bâtiment avec le poinçon sculpté en forme de tête de dragon. Des copies devraient reprendre la place qu’occupaient les originales sur le pignon, qui n’en a pas fini d’inspirer les artistes, d’autant que la nouvelle vie de la halle est placée sous le signe de la culture.

    A l’intérieur de la halle, une superbe maquette du bâtiment tel qu’il devait être au 16e siècle, c’est-à-dire deux fois plus long et avec un rez-de-chaussée ouvert où se tenait le marché public. 

    Des halles pour Milledéfis

    Carte postale ancienne

    Les photos qui suivent proviennent du site touristique ICI

    Des halles pour Milledéfis

    Des halles pour Milledéfis

    Des halles pour Milledéfis

     


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  • Bonjour depuis quelques jours j'observe attentivement les arbuste et un arbre en particulier au bord de l'Aisne juste en face de chez mes voisin, branche taillée comme un crayon et tronc de l'arbre mort marqué par les dents du castor.

    J'espère toujours l'apercevoir, mais c'est que monsieur castor sort de son repaire, soit très tôt le matin ou tard le soir, et je dois vous avouer que je n'aime guère flâner au bord de l'Aisne lorsqu'il fait encore noir ou que le jour tombe!

    Non pas que j'aie peur du castor mais plutôt de faire des rencontres désagréable de nos jours se balader seule n'est pas préconiser!

    Mais qui sait j'aurais peut-être la chance un jour de l'apercevoir comme il a 5 ans! CLIC sur la photo...

    Castor, le retour

    Photo 2010

    En attendant je vous offre ces quelques photos de son travail!

    Castor, le retour

    Castor, le retour

    Castor, le retour

    Castor, le retour

    Castor, le retour

    A tantôt, Cigalette

     


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  • Bonjour j'ai longuement cherché comment j'allais relever le défi de khanel pour ce mois de Mars.

    Notre gentille Khanel nous propose comme sujet: un poisson.

    Un poisson pour Khanel

    Je pensais d'abord faire un coloriage, puis je mes suis dit que j'avais déjà réalisé un coloriage il n'y a pas si longtemps, alors j'ai trouvé sur le net ICI un beau poisson tissé avec une ancienne carte de vœux, un beau recyclage.

    Le poisson terminé, je l'ai collé sur un jolis carton photo de couleur bleu, mais je trouvais cela un peu vide, alors j'ai pris mes pastels secs et j'ai posé le décore.

    Pour fixer le pastel je me suis servie de laque, n'ayant plus de bombe fixative spécial dessins.

    Pour les bulles, je me suis souvenue que ma fille m'avais donné des demis perles translucides, voilà ce qui allait me servir!

     

    Un poisson pour Khanel

    Mais je n'en suis pas restée là, j'ai trouvé un gabarit de poisson ICI je l'ai imprimé, plastifié puis découpé, ensuite j'ai tracé le contour sur une feuille de feutrine imprimée offerte par Camille.

    Puis j'ai découpé deux autres morceaux mais uniquement de la queue et en rose, puis j'ai assemblé le tout, embellis de quelques sequins, cousus un anneau porte-clés et voici un beau poisson.

    Un poisson pour Khanel

    Et on termine avec une comptine que je chantais a mes enfants...Il y a plus de 38 ans!

    Cigalette

    L'école des poissons

                        

    Il est une école
    Des poissons dans la mer
    Où l’on apprend la bible
    Et les bonnes manières
    Ohé p’tit poisson aux écailles dorées
    C’est le gouvernail qui sert à naviguer
    Essuie bien ton nez
    Dans l’mouchoir à carreaux
    Et tiens bien toute droite
    La nageoire sur ton dos
    Ohé p’tit poisson aux écailles dorées
    Faut faire mousser l’eau
    Pour pouvoir se laver
    Papa et maman t’ont appris la leçon
    Avaler l’appât
    Et laisser l’hameçon
    Ohé p’tit poisson aux écailles dorées
    Apprends que le fer
    C’est dur à digérer
    Si dans mes filets
    Tu n’veux pas être pris
    Apprends bien l’histoire
    Et la géographie
    Sans quoi p’tit poisson aux écailles dorées
    J’te mangerai demain
    Pour mon p’tit déjeuner

    ICI

     

     


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  • L'autre jour lors de ma balade près des rochers "mille feuilles" j'ai aperçus des scolopendres , une espèce de fougère qui date encore de la préhistoire.

    En faisant mes recherches je suis tombée sur un dossier PDF qui retrace toute l'évolution de notre jolie vallée, de la préhistoire à nos jours, très intéressant!

     

    Scolopendre

    Scolopendre

     La Scolopendre ou Asplenium scolopendrium var. scolopendrium (anciennement Asplenium scolopendrium ou Phyllitis scolopendrium) est une espèce de fougère de la famille des Aspleniaceae. Ses autres noms communs sont Langue de cerf, Herbe à rate ou Herbe hépatique.

    Source WIKIPEDIA

     


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  • Bonjour, hier en remontant le sentier pour rentrer chez moi, les enfants et moi-même avons trouvé une petite chenille sur les graviers.

    J'ai vérifié si elle vivait encore en la touchant légèrement avec un doigt, sa réaction à été immédiate, elle s'est enroulée sur elle-même ceci pour se protéger du danger éventuelle!

    Je l'ai déposée sur le côté du sentier dans l'herbe, sinon elle aurait été vite écrasée par les pieds des promeneurs!

    Les enfants étaient ravis de cette découverte et me posaient un tas de questions...

    Ce matin je suis partie à la recherche de son identité, il s'agis de la chenille du Bombix du chêne.

    Chenilles : éclosent en septembre et passent l'hiver en diapause*; elles en sortent en mars et se nymphosent autour de mai-juin. Elles muent plusieurs fois avant et après la diapause, changeant notablement d'apparence. Wikipédia

    *La diapause est une phase génétiquement déterminée dans le développement d'un organisme où il diminue l'intensité de ses activités métaboliques.

    Cigalette

    Chenille du Bombix du chêne

    Chenille du Bombix du chêne

     

     


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